La qualité pour l’exécution d'un ouvrage ou de travaux se réfère à la mesure dans laquelle la prise compte globale des taches à exécuter est réalisée en fonction de critères très précis choisis par la Maîtrise D'Ouvrage.

 

Elle va concerner l'étude de faisabilité, le montage financier, donc le budget, les plannings, la création architecturale, toutes les études techniques obligatoires, les Normes, les règles, les DTU, les avis techniques, les DTA et plus généralement, la règle de l'art.

 

Pour un ouvrage elle va commencer dès l'instant où le projet se prépare à l'élaboration du cahier des charges, l'évaluation de tous les frais collatéraux, le suivi architectural et technique, les plans, les études, les consultations, devis et assurances entreprises, contrats, plannings et mise en place des contrôles qualité et la réception.

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Pour des travaux elle va commencer dès l'instant ou le projet se prépare à l'élaboration du cahier des charges, les études de possibilité, l’ingénierie de la valeur, les budgets et évaluation des frais collatéraux, les plans d'implantations et de projet, les consultations, devis, assurances entreprises, contrats, plannings et mise en place des contrôles qualité et la réception.

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Dans cet espace rigoureux, ECPM - Expertise Conseil Pascal Meunier s'attache à ce que rien ne doit être oublié techniquement, temporellement et financièrement, tout cet ensemble devient une qualité qui permettra au Maître d'Ouvrage d’être satisfait des travaux et de devenir un ambassadeur commercial pour l'entreprise.

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L’importance de la notion de qualité :   

ECPM - Expertise Conseil Pascal Meunier, donne une grande importance à la  Qualité. Elle l'applique aussi à ses clients en vue de « satisfaire les besoins exprimés ou implicites (devoir de conseil) ».

 

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La qualité pour l’entreprise :

Cela devient un projet global :

- Le conseil

- L'ingénierie de la valeur

- La différenciation dans les propositions et les réalisations

- Le confortement de l’image de marque de l’entreprise

- La réduction drastique des coûts de non-qualité qui sont souvent élevés et cachés

- L’amélioration des résultats économiques de l’entreprise

- Le développement d’une culture de qualité dans l’entreprise

- Le développement d’une qualité hiérarchique

- Obligation de résultat à chaque niveau de l'entreprise

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La qualité pour le consommateur :

Éléments de références :

- Performance du produit à différents niveaux notamment ceux de l’écoute, qualité d’études, réalisations, l’économie d’utilisation, la facilité d’emploi et l’image produite.

- Qualité des services d’accompagnement comme la mise en service, le suivi et la formation des utilisateurs, les conseils techniques, l’entretien et la réparation.

- Délais et le respect des engagements techniques et financiers.

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L’image de Marque de l’entreprise :

Elle doit combler les besoins du consommateur, et aussi, comme spécificité d’en créer.

Elle peut être comparée à un véritable outil de marketing qui crée un besoin chez le consommateur, à savoir référencer l’entreprise et faire valoir ses qualités qu’il a lui-même appréciées

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Plus précisément :

Mobilisation de la hiérarchie, cadres etc.

Mobilisation du service marketing sur le bon fonctionnement d’un ouvrage/service, car cela doit être indiscutable

Mobilisation sur la satisfaction qu’il apporte à son utilisateur

Redonner confiance par le biais de communication sur la maîtrise et le contrôle de l’ensemble réalisé

Mobilisation de tout le personnel.

Formation de l’ensemble des forces vives à la qualité

Informations sur la qualité

Information sur la valeur qualitative crée

Profiter de l’effet de mode dont bénéficie actuellement la notion de qualité

Démontrer les effets que peuvent apporter la qualité

Démonstration du savoir-faire de l’ensemble du STAFF

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L’EXPERIENCE

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- L'expérience est une transmission à soi-même, de son histoire significative et signifiante qui permet d'agir, de poser tel acte.

- Elle est connaissance et s'acquiert par l'étude, l'observation, le doute, le scepticisme, la pratique, la réflexion, la formation, les essais, les nuits de réflexion... le temps et la capacité à évaluer tout ce que l'on ne sait pas

- L’expérience nous amène obligatoirement à la qualité, car elle est démonstration des dérives que peuvent engendrer la non prise en compte de la démarche qualité

 

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HISTOIRE ET EVOLUTION DE LA GESTION DE LA PRODUCTION

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- Dès qu'une entreprise est créé, il a fallu gérer sa production. Mais le passage de la production pour petites unités à moyenne type PME et supérieure, va bouleverser les modes d'organisation et de gestion de la production.

- L'importance s'accroissant au fur et à mesure de l'augmentation de la pression de la concurrence

- D’où la mise en évidence de l'importance de cette progression dans une optique économique et ainsi de pouvoir parler du rendement des hommes équipés de machines de tous ordres.

- Taylor (1856-1915) place le concept de travail au centre de nouvelles études sur l'activité professionnelle. Considéré comme le père du management scientifique, il est le premier à s'intéresser à la mesure du temps mis pour effectuer chaque tache. Il fait passer l'industrie de l'improvisation à l'organisation rationnelle.

- Logiquement cette recherche du meilleur rendement pour la société les entreprises, les machines ... impliqua la recherche pour le "mieux produire" c'est à dire débouchera sur "la gestion de la production".

 

NB: Sachant que la recherche de l'organisation des taches à effectuer remonte bien au-delà, par exemple, lors de la construction des cathédrales, lors de la construction des pyramides ... En fait, s'organiser au mieux pour effectuer des taches a été de tout temps une préoccupation des hommes. Simplement Taylor à rechercher à la faire passer d'une organisation approximative à une organisation rationnelle à partir d'éléments scientifiques.

 

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Ces organisations passent par des méthodes à mettre en place et adapter à la tâche et à l'entreprise

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- Donc, dès qu'une entreprise a existé, il a fallu gérer sa production. Ainsi le rôle de la gestion de production est très ancien.

- Le passage du dix-neuvième au vingtième siècle est une charnière entre deux ères industrielles.

- La production et la consommation de masse bouleversent un univers d'industries lourdes ou artisanales exploitant des richesses naturelles au profit d'une minorité.

- Il s'agira maintenant, au contraire, de satisfaire une masse de clients de plus en plus diversifiée et d'utiliser au mieux la ressource humaine de l'entreprise.

- La production industrielle trouve ses origines dans l'invention de l'interchangeabilité des pièces.

- L’histoire industrielle et son évolution est jalonnée de noms qui sont ceux des théoriciens et des praticiens des méthodes de la gestion de la production et du management moderne : TAYLOR, FAYOL, FORD, TOYOTA , SLOAN, OHNO, DRUCKER, l’ECOLE SOCIO TECHNIQUE

- Au cours du vingtième siècle, à partir de ces théoriciens et praticiens de la gestion de production se développent des méthodes telles que le MRP1 puis MRP2 (1965 USA), PERT pour le programme Apollo (USA) puis PERT des potentiels par l'EDF (1958 France), le Juste à temps puis le Kanban (Japon) ....

- C'est depuis environ 1950 (à voir selon les produits, les domaines d'activité) que la compétitivité économique s'est accélérée subissant les trois phases d'évolution demande > offre, demande = offre, demande < offre obligeant les entreprises à réduire leurs stocks passant d'une logique de "produire puis vendre" à "produire ce qui sera vendu"

- Parallèlement le niveau culturel des employés augmentant, ainsi que les techniques et technologies de production.

- Le tout faisant que de nouvelles méthodes de gestion de production et aussi d'outils de gestion de production et de management apparaissent.

- L'entreprise doit chercher dans le cadre de sa gestion de production à passer d'une logique de charges à une logique de flux: Il est alors nécessaire de chercher à transformer des activités apparemment indépendantes en un processus continu en supprimant les opérations non génératrices de valeur utile pour le client (transport, stockage ...).

- Il est aussi nécessaire de mettre en œuvre un processus continu d'amélioration, CIP, Kaizen, POKA YOKE ... l'on passe du Taylorisme venu des USA au juste à temps et au flux tendus venu du Japon.

- Le temps prenant une importance de plus en plus fondamentale (Il faut être le premier à sortir le bon produit dans les meilleurs délais au meilleur coût).

NB: C'est aussi les moyens techniques du 19ème siècle telle que "la vapeur" qui poussent certains "ingénieurs visionnaires" à rechercher de nouveaux modes de production destinés aux petites entreprises pour résoudre les problèmes sociaux, engendrant des évolutions sur les prémices de la gestion de la production d'alors: Voir l'histoire de Rudolf DIESEL et un règlement d'entreprise de 1880

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PREMIERE VOITURE PRODUITE A LA CHAINE EN FRANCE ET EN EUROPE 

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- C'est en 1919 que pour la France et l’Europe la première voiture produite à la chaîne fut la Citroën 10 HP type A appelée aussi "Torpédo".

- C'est André Citroën qui lors d'un voyage aux États Unis chez Ford en repris l’idée.

- C'est une petite voiture à 4 places, reposant sur un empattement de 2,83 m, longue de 3,68 m et animée par un 4 cylindres de 1,3 l à 3 vitesses (non synchronisées) développant 18 ch.

- Elle est capable d'atteindre les 65 km /h. (Possibilité de cinq variantes de carrosserie, Torpédo 3 places, coupé, conduite intérieure 4 places, coupé de ville, voiture de livraison.

- Innovation d'importance, elle est équipée en série d'un démarreur et d'un éclairage électrique.

- Son prix était de 7950 francs faibles pour l'époque.

- Alors que personne n'a encore vu le modèle, 16000 commandes sont prises en 15 jours.

- Le vingt et unième siècle est un bond en avant substantiel car il fournit l’information en temps réel.

- Tout humain est à même collecter des renseignements de tous ordres en instantané

- Dans le cas de complexité, l’ IA va accroitre les performances de recherches

- Chose qui oblige et peut permettre à l’entreprise d’être performante

- Elle devient en capacité de commenter et traiter une information que peut lui produire un client.

- Le bâtiment étant grevé de normes, règles en nombres impressionnants, se doit de se rapprocher de la qualité, donc de la performance sous peine de ne plus être en capacité de trouver des chantiers à réaliser

 

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ROLE ET IMPORTANCE DE LA GESTION DE LA PRODUCTION 

 

- Au fur et à mesure de l'accroissement de la concurrence, la gestion de la production devient de plus en plus importante dans l'organisation d'une entreprise car elle permet d'améliorer sa compétitivité qualitative et financière

- Lorsqu'une découverte peut s'exploiter en un nouveau produit dont la demande pressentie en diffusion est importante : un grand nombre d'artisans d'entreprises de pionniers se lance dans la mise en œuvre de ce produit (exemple la climatisation, panneaux solaires, énergies renouvelables, isolation etc.).

- Si les espoirs commerciaux se réalisent, au début peu de problèmes car la demande est supérieure à l'offre et donc tout ce que l'on traite sera réalisé : demande > offre (Il suffit de produire pour vendre).

- Mais lorsque les clients potentiels commencent à être équipés le marché rentre dans une phase de saturation :

- L'offre = à la demande et c'est là que la gestion des réalisations accroît son importance car seules les entreprises les mieux gérées et organisées, qui de ce fait dégagent des marges bénéficiaires supérieures aux autres pourront maintenir leurs activités

- Par exemple en "cassant les prix" les autres rencontreront des difficultés ; mais c'est aussi celles qui réaliseront un produit de meilleure qualité qui respectera au mieux le cahier des charges qui remporteront les appels d’offres.

- Enfin la troisième phase ou la demande < l'offre crée un marché saturé et là, seules les entreprises les mieux gérées et organisées survivront elles rachèteront celles qui ne sont plus rentables d'où regroupements, fusions, acquisitions, transfert ...

- Ces phases tendent à s'accélérer de plus en plus (exemple du téléphone) lorsqu' un nouveau produit est mis sur le marché : Car le niveau de vie des ménages dans les pays développés ayant augmenté, ceux-ci peuvent se financer  de plus en plus rapidement et ainsi passer à l’exécution.

- Ce sont aussi les entreprises qui sont les premières à mettre un produit nouveau sur le marché qui en récolteront les fruits à condition que celui-ci soit un succès : Ce qui oblige de prendre des risques, mais c’est la règle

 

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LA GESTION DE LA PRODUCTIONPAR RAPPORT AUX ASPECTS FINANCIERS

 

Aujourd'hui le prix de vente d'un marché de bâtiment est de plus en plus lié à l’intelligence de mise en œuvre, des travaux et de la technicité mécanique, humaine et technique de l’entreprise

Les modes de calcul de la marge bénéficiaire dans la recherche d'une baisse des coûts de réalisation relève de l’intelligence collective de l’entreprise.

 

D’où la formule de base évidente :

- Marge bénéficiaire = Prix de vente - coût de revient

- Dans cette définition

- PRIX de VENTE = montant de la négociation finale c'est à dire ce que l'on peut obtenir en argent comme montant définitif 

- COUT de REVIENT : Montant financier pour la réalisation du contrat

 

De faits la gestion de la production doit amener à diminuer les coûts de revient en gardant la qualité prévue.

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LA GESTION DE LA PRODUCTION ET LES FLUX

 

La gestion de la production support ou source de la circulation des flux d'informations est liée aux flux de nécessités techniques et du cout de fourniture matériaux

 

Les flux physiques :

- Approvisionnement :

- Gestion des achats

- Gestion des commandes

- Gestion des délais

- Entrée et circulation des matières premières

- Des composants, des sous-ensembles

- Des matériaux, en stock ou spécifiques sur commandes

       

Les flux d'information:

Analyse de la demande des donneurs d’ordres ;

- Administrativement, qualitativement, techniquement et financièrement

- Sécurité et code du travail

- Gestion de l’ensemble spatial

      

Analyse des données techniques et administratives :

- Devis

- Contrats

- Méthode

- Délais généraux

- Consultations

- Sous-traitants

- Achats

- Commandes

- Fabrication

- Approvisionnement anticipatif

- Gestion des hommes

- Gestion anticipative des livraisons

- Gestion des machines (grues, engins, camions, véhicules, petit et gros matériel)

- Contrôle des consommations matériaux

- Contrôle des pertes et chutes

- Frais techniques ou administratifs inhérents à un chantier

- Observation anticipative de l’arrivée des éléments perturbateurs

- Gestion globale des règles intégrées au dossier par la méthode de la Rigidification

- La rigueur : document Maître

 

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DEFINITIONS, METHODES ET OUTILS DE GESTION DE LA PRODUCTION

 

- La mise en œuvre de la gestion de la production se fait à partir de méthodes et d'outils qui peuvent se combiner entre eux, mais qui sont gérés par des points critiques, points de passages obligatoires et points d’arrêts

- D’où la mise en place de méthodes, contrôles type Autocontrôle et contrôles qualité vers « excellence = zéro défaut »

- L’anticipation, règle d’OR

- L’ingénierie de la valeur

- L’ingénierie de l’optimisation

- Méthode POKA YOKE

- Méthode KAN DAN

- Méthode itérative

- Méthode 8D

- Méthode KAISEN  etc.

- L’ensemble de ces méthodes devient un tout qui permet de gérer l’outil global de production de façon à amener l’exécution à un niveau d’excellence

Notamment, pendant le chantier un minimum de : pertes de temps, financières, erreurs, sinistres ou autre

- ANTICIPATION :

Technique Maitre dans la gestion d’un chantier, elle est la référence

- Les OPR :

Outils merveilleux d’anticipation sur l’économie de la valeur

Ils permettent une pré-réception alors que tout le personnel est présent sur place et à valeur contractuelle

Les économies qu’ils permettent sont exponentielles et d’une grande valeur financière

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La réception :

La gestion qu’elle implique si elle n’est pas sans réserve

Les pertes financières engendrées par le temps et frais de gestion des réserves

La garantie de parfait achèvement, son coût et sa gestion

Les retenues de garantie lesquels comportent une valeur financière exponentielle

L’influence « IMAGE de MARQUE »

 

Il est à préciser, qu'il ne peut y avoir que conflit entre les réserves qui apparaissent à la réception, et la démarche du Maître d’œuvre qui assiste la Maîtrise d'Ouvrage à la réception, Il faut quand même préciser qu'il a été présent  personnellement sur site et a suivi le chantier et trouve des réserves.

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Que doit en penser la Maîtrise d’Ouvrage :

- Les pertes dues à la gestion des réserves après réception est une inconnue notoire, peu d’entreprises osent affronter leurs montants car dans certains cas cela peut faire peur, voir affolant

- Nous allons passer sur les frais engendrés par les poursuites judiciaires lesquelles, sont, certes à prendre en compte, cela devient hors sujet car nous REVENONS de FAITS à la NON QUALITE

 

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POINT de VUE : 

AUTOCONTROLE + CONTROLE QUALITE = ZERO DEFAUT = IMAGE de MARQUE = REFERENCEMENT= APPORTS d’AFFAIRES= CONFORT GLOBAL du STAFF = PROGRESSION